Nous sommes allées voir Ghost In The Shell, et ô surprise, le film n’est pas très bon – voir plutôt mauvais -. Mais l’excellente surprise fut celle de voir Michael Pitt dans le rôle du grand méchant. Ça aurait pu très mal tourner, le Puppet Master de la version cinématographique (assimilé à Hideo Kuze pour l’occasion – nous reviendrons sur cet amalgame raté dans un article plus long -) étant plus proche de l’adolescent rebelle fin de 5ème que de l’IA évolutionniste du manga. Mais Michael Pitt parvient à lui insuffler une aura touchante et à faire magistralement vibrer notre corde de marshmallow.
Il faut dire que nous avons toujours eu un énorme faible pour l’acteur: Funny Games, Last Days, Innocents, Boardwalk Empire, le seul capable de tenir tête à Hannibal… Que du love. C’est donc avec plaisir que nous le retrouvons dans cette interview belle et honnête, bonne occasion de revenir sur sa filmographie d’enfant terrible. A lire ici (malgré la faute très violente dans l’orthographe du titre, l’article est vraiment bien).
Romain Blondeau, 21/03/2017